- laché-

le mois de Mai. Un mois qui n'est pas marquée d'événements très importants, si ce n'est l'ascension ...Mais un mois qui est pour beaucoup le signe que les examens ne sont pas loin, pour d'autres qu'ils vont devoirs corriger des copies...Mais il est pour tout le monde le moi où le soleil commence à s'installer définitivement et qui annonce de belles vacances et de belles journées ensoleillées en perspectives. Ce soleil, ce ciel bleu, ce temps radieux..transforme le mois de mai en saison idéal pour sortir dehors et plus longtemps d'ailleurs vu que les journées sont plus longues. Et ce temps radieux ne rend pas indifférent les chevaux.
En particulier, si celui-ci est resté enfermé dans son box plusieurs semaines, comme c'est le cas pour Unico. Il n'était plus sortit depuis trois semaines. Trois longues semaines où l'air confiné des box l'avait ennuyé encore plus qu'il ne l'aurait jamais imaginé. Mais aujourd'hui..alors que les tic qu'il avait attrapés le rongeait..un homme vétu d'une tenue de travaille bleu, le sortit de son box..Ou plutôt fut sortit des écuries ! Unico l'avait embarquer dans un grand trot , sans vraiment se soucier des conséquences. Jusqu'à ce que le palfrenier finisse par l'arreter. Piafant d'impatience, Unico tenta plusieurs fois d'embarquer son " compagnon" mais celui-ci, à la moindre sensation de tentavie , lui faisait faire des cercles avec la longe. Et c'est tant bien que mal, qu'Unico fut laché dans le paddock.
Le palfrenier retira la longe, et à peine celle-ci retier, Unico bondit avec un coup de cul qui se vu suivre par un enchainement de cabrioles toutes plus puissantes et plus énergétiques les unes que les autres , accompagnées d'hénnisements strident. Un fois les cabrioles fines , il fit le tour du paddock plusieurs fois de suite au galop de charge , faisant dans chaque " acceleration" des coup de culs. Ensuite il chargea jusqu'à la barière qui fermait le paddock, et s'arreta en sliding stop . Puis, arreté les membres au carré , l'encolure haute et les oureilles pointées vers l'avant, il hennit en plein poumons à plusieurs reprises, des hénnisements sourd et rauques, qui répandaient la dominance de l'étalon...

[ Je peux ou tu préfère un humain ? ]

( non tu peux ^^ )

La journée avait tranquillement débuter avec l'apparition tant attendu du soleil qui s'était fait quelque peu absent ses derniers jours. Il faut dire que l'on était en plein moi de Mai et c'était bien le moment. Les premiers rayons avaient finit par illuminer entièrement l'écurie et tous les chevaux qui à forcent que le temps passait se réveillait. Un peu plus loin, dans le dernier box de l'écurie se trouvais une petite jument pie qui ne cessais de tourner en rond, attendant avec hâte l'un de ses hommes en salopette qui l'amènerais respirer l'air de l'extérieur. Assez énergétique et caractérielle de nature, le printemps ne l'améliorait pas vraiment (...). Les minutes passaient et l'écurie se vida de plus de sa moitié et pourtant, elle n'était toujours pas dehors. La paint lâcha une suite de petit hennissements qui avaient comme seul but le fait de rappeler à ses bipèdes qu'elle était encore là, prête à sortir. Sans succès, à croire qu'elle était invisible. Après un bon moment de réflexion, la paint horse passa au chose sérieuse. Envoyant de brusque coup d'antérieur dans la porte un brusque "Silence !" se fit entendre et un homme assez grand s'approcha de son box. La fixant froidement de ses yeux comme si elle venait de lui demandé le plus grand des efforts. Peut-importe, il attrapa l'un des licols en corde qui trainais devant son box et le lui passa sans retenue. Arizona ne broncha pas et une fois finit bondit hors de son box avec une fougue énorme, à croire qu'elle n'était jamais dehors. Lâchant un brusque hennissement, la paint horse traina son palefrenier sur toute la longueur de l'écurie jusqu'à qu'il n'y mette un terme. S'arrêtant finalement à ses côtés, elle le suivit en trottant sur place de temps en temps et s'aperçut bien vite que la direction prise n'était pas pour le pré.
Secouant à plusieurs reprises son encolure pour obtenir plus de mou dans sa longe, le regard de la paint se posa finalement sur le paddock et plus précisément sur l'étalon blanc qui s'y trouvais. Le fait qu'il galope et se défoule sembla déteindre sur la jument qui se mis aussitôt à tirer en avant dans le seul but de s'éloigner au galop. Le palefrenier tenu bon jusqu'au bout et à cause de la présence de l'étalon dans le paddock fut obliger de lâcher la petite jument pie à l'intérieur du rond de longe qui côtoyait le paddock sur l'un de ses largeur. Ce n'était pas bien grand mais tant pis, elle ferait avec. S'éloignant d'un brusque bond une fois lâcher elle ne tarda pas à s'arrêter en face contre la barrière. Les oreilles pointées en avant en direction de l'étalon blanc, son regard également posé sur lui. Un petit hennissement se fit entendre de sa part et d'un brusque écart elle s'éloigna de quelques foulées de galop pour faire une-deux fois le tour de ce petit rond de longe dans le quel elle avait été lâchée, ce qui ne tarderait pas à s'avérer trop petit pour elle. A ce moment, elle trouverait alors un moyen de passer de l'autre côté !

Alors que l'étalon hénnisait de sa voix rauque, des bruits de sabots l'interpellèrent. Il arreta d'hennir, et fixa de ses beaux yeux ronds la jument pie qui s'approchait du paddock en trotinant. Décidemment ce n'était pas le jour du palfrenier ! L'étalon piaffait devant la porte du paddock arquant son encolure , fixant la jument qui s'approchait de lui. Mais celle-ci ne rentra pas de la paddock, le palfrenier la lacha dans le rond de longe dont une des largeurs était commune avec le paddock. L'étalon hennit stridement à la jument en la regardant entrée dans le rond de longe. La jument détala au galop à peine le palfrenier l'avait-il lachée.
L'étalon se cabra légrement et pivota sur ses postérieurs pour faire demi-tour. Une fois ses membres au sol , il parti, en gros dos , dans un trot relevé qui fait la fierté de la race espagnole. Il s'arreta devant la limité du rond de longe. Il regarda quelques minutes la jument se défouler dans une tempête de sable. L'étalon hennit gentiment à la jument, c'était un hennisement bref mais fort que les chevaux utilisent généralement pour appeler un compagnon lorsqu'il se sentent seuls. Il hennit ainsiplusieurs fois et tappant de l'antérieur sur la séparation.

La paint venait d'être lâché dans le petit rond de longe qui côtoyait le paddock dans lequel un étalon blanc était lâché. D'ailleurs, c'était avec sa présence qu'elle s'était vue enfermée dans ce cercle bien trop petite pour madame ! La petite pie galopait énergiquement et joyeusement le long des barrières avant que la silhouette de l'étalon blanche ne se détache un peu plus loin dans le paddock. Ce dernier venait en effet de se cabrer et s'approchait désormais dans un trot assez relevé, sans doute en provenance de sa race espagnole. La paint qui s'était immobilisé tourna joyeusement la tête à son hennissement et s'approcha en quelques foulées ce qui servait de séparation entre le rond de longe et le paddock. La jument s'arrêta non loin de lui à une distance respectable pour éviter tout incident et son regard allait et venait sur l'équidé devant elle. Tout cela semblait n'avoir aucun sens et aucune organisation, mais aujourd'hui tout particulièrement la paint horse était assez réveiller et pour le moment, seul le défoulement était à l'appel. D'ailleurs elle ne tarda pas à lâcher un bref petit hennissement assez aiguë avant de faire un brusque écart et de s'éloigner dans un gracieux trot pour finir par décrire le rond produit par le rond de longe et finalement elle revint à sa place initiale. L'encolure passée par dessus les barrières bien que cela était un peu compliqué en particulier à cause de sa taille, mais peut importe, elle avait appris à faire avec. La petite pie sursauta simplement quand l'étalon envoya un coup dans la séparation, mais resta sur place, le regard attentivement posé sur lui.. Il faut dire que c'était le deuxième équidé qu'elle rencontrait depuis son arrivée et ce dernier semblait un peu plus coopératif...

( désolé du retard. ta nouvelle signa est superbe !! Very Happy

)

L'étalon ayant réussi à attirer l'attention de la jument, hennit brievement pour la saluer, alors que celle-ci s'était arretée à 3 ou 3 mètres de la séparation. L'étaln tendit l'encolure en sa diraction mais la releva vivement en ne s'attendant pas du tout à l'écart de la jument. L'étalon la regarda fait le tour du rond de longe pour finalement venir s'arretar plus près de la séparation que la dernière fois. la jument passa son encolure par dessut la séparation malgré sa taille moyenne. L'étalon recula doucement de quelques pas , et approcha lentement sa museau de la jument pour la " sentir ". En tout bon gentleman et séducteur, l'étalo arqua son encolure et pointa les oreilles vers la jument.
Voulant éviter un accident au cas où la jument interprèterait mal ses intations. L'étalon l'observait curieusement, de tout sa vie , jamais il n'avait vu une telle robe..Qui n'en n'était pas plus laide pour autant ! ^^ Alors qu'il attendait patiemment la réaction de la jument, l'étalon mit légérement sa queue en panache, signe d'éxitation...( pas celle qui vous croyer ^^)

( désolé je n'ai pas écrit beaucoup, l'inspi ne m'est pas venu)

[ Merci beaucoup et pas de souci pour ta réponse, elle est parfaite =) ]

Le soleil était toujours au rendez-vous et il ne semblait plus vouloir se détacher du ciel, une chance de croire que les beaux jours avaient finis par arrivés ! Après s'être brusquemment écarté de la barrière dans un petit bon, la paint était revenu à son point de départ, vers l'étalon, et avait passer comme elle pouvait son encolure par dessus la barrière de bois qu'il la séparait de lui. L'étalon blanc ne tarda pas alors à s'approcher et à approcher son bout du nez d'elle, ce qu'elle imita aussitôt. Après un petit moment la paint lâcha un bref hennissement et envoya un coup d'antérieur dans la paroi de bois. Ne bougeant pas, elle redressa simplement ses oreilles, l'attention toujours porté sur l'étalon blanc devant elle, qui lui aussi semblait l'observer. Sans doute n'avait-il jamais vu une telle robe... Ce qui lui était bien souvent arrivée. Il faut dire qu'entre une multitude de chevaux bai ou alezan, elle n'était jamais discrète bien longtemps. Bref ! La petite pie lâcha à nouveau un petit ronflement et se décala de quelques pas en sa direction, l'allure assez fière. Et oui, il fallait tout de suite empêché toute personne de lui 'marcher sur les pieds' dans l'avenir. Son regard était joyeux et il n'était pas difficile à deviner qu'elle débordait d'énergie et que son rond de longe bien trop petit n'allait pas tarder à se retrouver vide.. D'ailleurs, un peu de compagnie ne ferait sans doute pas de mal ni à elle ni à l'étalon blanc de l'autre côté dans le large paddock.

( me revoilà ^^ )

L' étalon blanc et la jument pie semblaient avoir un point commun certain : ils détestent la solitude ( a suivre '^^ )